La révolution du monde de la restauration collective est en marche. Mais comment les cantines accèdent-elles à plus de produits bios et locaux ? Depuis la promulgation de la loi EGALim en 2018, la création de nouveaux projets alimentaires territoriaux (PAT) se multiplie en France métropolitaine et nombre de ces projets placent les cantines au cœur de leur stratégie alimentaire territoriale. Suite à nos échanges avec certains PAT, nous avons décidé de nous attarder sur ces démarches collectives inspirantes.
La mondialisation de notre système alimentaire est aujourd’hui fortement contestée par des mouvements engagés qui œuvrent pour une économie solidaire, locale et durable.
La consommation de plats végétariens a de nombreux bienfaits. Elle préserve notre santé en améliorant notre qualité de sommeil, protège la planète en épargnant nos ressources en eau et en émettant moins de gaz à effet de serre et est source d’économies budgétaires.
Pour remplacer le logiciel de gestion de stock PRESTO, quelles sont les alternatives adaptées aux besoins des cuisines centrales ? Pour vous maïa décrypte le contexte.
Maia résume la Loi EGalim pour vous aider à comprendre et atteindre ses objectifs, et vous dirige vers les ressources utiles pour vous accompagner et vous faire développer de bonnes pratiques.
La mission éducative de la cantine scolaire contribue d’une part à la propagation des “bonnes pratiques et d’une alimentation plus saine et durable, et d’une autre part à l’amélioration des capacités d’apprentissage des élèves.
La loi EGALIM incite à réduire le gaspillage alimentaire dans les cantines scolaires. En effet, le gaspillage alimentaire est un problème à la fois économique et social déterminant.
Grâce à l’outil Parcel, les acteurs locaux peuvent estimer les retombées positives d’une alimentation locale. Celles-ci se mesurent sur le plan de l’environnement et de la santé, ainsi qu’à travers une stimulation d’une économie de circuit-court.